Le declin de l’empire textile, un exemple : la maison Solignac
L’exposition et ce catalogue, à travers la maison Solignac, une manufacture de lingerie fondée en 1880, vont tenter d’expliquer pourquoi Nîmes, au milieu du XXe siècle, a perdu définitivement son aura de ville manufacturière du textile. Cet exemple s’est imposé à nous tout simplement parce que les descendants de Pierre Solignac ont eu le souci de conserver la mémoire de cette entreprise et de déposer l’essentiel au musée du vieux Nîmes et aux archives départementales.
Ed. Nouvelle CompoMakete, Nîmes, 2007
24 p. ill.
Ces « petits bouts d’étoffe » sont arrivés par hasard dans les collections du Musée du vieux Nîmes ; ils sont souvent issus des « sacs à chutes » que l’on retrouve dans les malles de familles nîmoises qui ont entassé les « restes » de couture.
Ce catalogue présente une partie du travail tauromachique de Jean Marie Granier, artiste gardois de renommée internationale, commencé en 1960 et intitulé l’enlèvement d’Europe, puis celui des amours d’Europe dessiné entre 2000 et 2005 alors qu’il siège sur les bancs de l’Académie. Ou comment rendre éternel cet art si fugace qu’est la tauromachie.